Texte : Evelyne Gorter

Solomon montre au monde entier qu’ils sont là avec leur premier album « It’s all downhill from here ». Le groupe a produit l’album avec Christopher Elms (connu pour Björk, Ben Howard) qui l’a également mixé et le disque a été masterisé par Tim Debney (Mumford & Sons, Bastille, Keane).

Le premier album du groupe basé à Maastricht se compose de dix chansons. Dans le deuxième titre « Oceans », le chanteur Koen de Witte chante : …let the current take control. Et c’est exactement ce qu’il faut faire en écoutant ce disque. Laissez-vous emporter par les mélodies et les arrangements et retrouvez-vous dans un océan de créativité musicale. Laissez-vous guider par le flux de cet album, des hautes vagues déchaînées aux eaux presque statiques. Laissez la musique vous entourer et vous submerger, baignez-vous dedans.

Sur l’album, on entend des transitions entre des lignes musicales classiques et du rock pur combiné à des sons comme si on retournait une cassette. Dans la chanson « Polly », on entend une ligne mélodique qui fait référence à la chanson « Endless », sortie précédemment. Il est immédiatement clair qu’on a affaire à des musiciens de pure souche qui savent combiner divers styles musicaux en un son international pénétrant, la voix chaude de White complétant le tout.

À mi-chemin, le groupe lance une « Life Line » pour que nos esprits ne dérivent pas trop loin : … catch me when I fall. On en a besoin, maintenant qu’on est époustouflé par cet album !

« Nobody Knows » ;… Nobody ever sees the same,… mais nous sommes certains que tout va passer à la vitesse supérieure pour Solomon désormais !